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11 juin 2011 6 11 /06 /juin /2011 22:16

Et si un retour aux choses simple était la solution? Si je redevenais celle que j'étais? Si je renouais avec ceux qui m'apportaient vraiment du bonheur? Suis-je vraiment heureuse aujourd'hui? Est-ce ça ma vie? Est-ce cette quête constante du beau, du superficiel, de l'amour de l'autre? Ne vis-je que pour exister dans les yeux de certaines personnes? Et si c'est le cas, choisis-je bien ces personnes? Est-ce que je ne m'éloignerais pas de la fille que je suis réellement? Suis-je faite pour vivre dans le passé, le mauvais passé? Ne suis-je pas en train de créer un monde bancale qui, m'apportant successivement bonheur et malheur, me conduira sans nul doute à ma perte? Ne laisse-je pas les autres me détruire comme bon leur semble? A-t-il le droit de me détruire? Ne suis-je pas plutôt la victime de mes propres délires? N'est-ce pas mon but d'ailleurs de me faire plaindre? Ou suis-je trop faible pour montrer se que je vaux? Trop de questions, pas assez de réponse. La vie quoi! 

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11 avril 2011 1 11 /04 /avril /2011 21:46

Je me fais belle pour toi.

Je sais, c'est inutile. 

Tout ça n'est qu'éphémère.

Ce n'est pas grave, je le fais quand même.

 

Je t'offre le plus beau de mes sourires.

Bien sur, il ne sert à rien.

Tu me connais déjà.

Ce n'est pas grave, je le fais quand même.

 

Je t'écoute avec toute mon attention.

Ces paroles, superficielles.

Juste pour combler un vide.

Ce n'est pas grave, je le fais quand même.

 

Je te laisse faire ce que tu veux de moi.

Je n'arrive pas à résister.

Je ne suis rien à tes yeux.

Ce n'est pas grave, je le fais quand même.

 

Mais ne crois pas que je t'appartienne.

Ne crois pas que je ne sois qu'une chose entre tes mains.

Ne crois pas non plus que je ne sois qu'une fille facile,

Et que seul le manque me mène à toi.

 

Non, je suis ne suis pas ce genre de fille.

Et n'espère pas que je sois dénuée de volonté.

Que je sois à ta merci.

Non, ne crois surtout pas ça.

 

Parce que dans le fond, sais-tu réellement qui est le maître du jeu?

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1 mars 2011 2 01 /03 /mars /2011 20:05

 

Je crois que ça y est. Oui, nous y sommes presque arrivés. Plus que quelques jours avant de faire le grand saut. Et quel grand saut! Celui qui t'emmène loin, très loin, aussi loin que cela puisse être possible. Enfin, peut être pas autant. Après tout, ça ne change pas de toutes les autres fois. Et puis, soyons d'accord, ce n'est pas un événement si exceptionnel après tout. Même le plus grand, le plus insupportable, le plus impressionnant des imbéciles y a eu le droit, et pas qu'une fois. Alors, pourquoi s'enflammer? Même si cette fois-ci, il faut s'accrocher parce que, tout de même, faut avouer, c'est pas aussi banal que les fois précédentes. Mais je ne suis pas la première à passer par là. Imaginez un peu qu'on a fasse tout un plat pour chaque personne? On ne serait pas rendu! En plus de cela, c'est peut être un peu effrayant. Je veux dire, c'est pas comme si ça n'avait aucune conséquence. Au contraire! Sans changer énormément de chose, le peu qui est bouleversé, et bien, ça perturbe. Bref, je n'ai plus qu'à me préparer, prête à ce grand jour! Allez, bientôt, on me chantera "Joyeux anniversaire!", et on me dira "Bienvenue dans la majorité!".

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17 février 2011 4 17 /02 /février /2011 21:51

Je m'en étais sortie. J'avais réussi. Seule, j'avais combattu cette souffrance, cette peur, cette haine. J'étais parvenue à me défaire de tout cela, et étais enfin devenue forte. Oui, je pouvais me vanter d'y être arrivée, de moi même, sans l'aide de personne. Personne. Je ne voulais pas que l'on s'inquiète pour moi, je voulais tout cacher derrière un sourire, une façade. Et ça marchait. Devant eux, je ne craquais pas, et c'était comme si la vie n'avait jamais cessé de m'apporter du bonheur. Pour eux, j'étais vivante, et la joie peignait mes traits. Mais, seule, dans un endroit ou aucun regard indiscret ne pouvait me frôler, je laissais mes larmes couler, ma peine m'envahir telle une vague d'encre noire. Mais c'était fini, tout ça était derrière moi. Ah! pauvre petite chose naïve que j'étais, que je suis, que je serais toujours. J'ai toujours clamé haut et fort, à qui veut l'entendre, que je n'ai pas confiance en moi. Et pourtant, j'étais sûre de m'en être sortie, j'étais fière d'avoir passer cette étape, et étais certaine que plus jamais je ne connaitrais ça. Sombre idiote? Vantardise démesurée? Confiance en sa solidité morale? Ou simple espoir? Peut importe, je n'ai plus qu'à m'en prendre à moi même. Pleure ma petite, et guéris, comme la dernière fois. Jusqu'à se que tu rechutes...

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26 janvier 2011 3 26 /01 /janvier /2011 18:04

Moi--223-.JPGJe me fais deux couettes de chaque cotés, et j'ai l'impression de retomber en enfance. Je mange un bonbon tout rose et perlé de sucre, et dès lors,, l'insouciance prend place dans mon esprit. Je lis une histoire de princesse et plus rien ne m'atteint. Oui, je suis libre et plus rien n'a d'importance? Mes problèmes s'évaporent, et la complexité du monde ne me fais plus peur, ne m'intéresse même plus. Tout devient simple.Je n'ai plus besoin de me fusiller la tête de toutes ces questions, car mes seules préoccupations sont futiles, inintéressante aux yeux des adultes. Ces disputes avec telles ou telles personnes, ces accidents menant à l'hôpital, ces problèmes familiaux, ces interrogations constantes sur ce que pensent les autres, ces soirées alcoolisées ratées, ces résultats décevants, ces erreurs commises consciemment ou inconsciemment, ces sensations désagréables produites par un incident... tout ça n'existe plus. C'est du passé. Non, ça n'a même jamais existé. Dans ma tête, j'ai sept ans, je me protège du monde avec mes poupées. Oui, rien n'a d'importance, je suis en enfance. La réalité peut bien attendre, me laisser du répit puisque, de toute manière, telles des araignées velu et effrayantes, mes soucis viendront s'immiscer dans ma tête de petite fille, et me faire redevenir la jeune femme devant affronter la vie, cruelle et injuste dans toute sa splendeur. C'est ça devenir responsable, c'est affronter la vie sous son vrai jour. Alors, après une dernière sucette, allons-y, affrontons la vie!

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6 janvier 2011 4 06 /01 /janvier /2011 17:10

61858 1511710604606 1589610306 31209055 2413854 nJ'aimerais vous raconter une histoire. Vous la connaissez peut être, bien que cela m'étonnerait, étant donné que seul très peu monde pourrait être capable de la déclamer en bon et du forme. Alors permettez moi de vous la narrer. Pour en connaitre le début, il faut remonter un peu plus de deux ans auparavant. C'est pendant cette année 2008 que j'ai rencontré une personne formidable. Pendant quelques mois, je n'ai pas vraiment su quoi penser de cette fille. Julie, 15ans, plutôt réservé, évoluant dans un cercle d'amis différent du mien. Non, rien ne semblait nous destiner à devenir amies. Les semaines ont passé, et finalement, je peux dire "grâce à un film", nous avons commencé à parler. Ce genre de paroles innocentes, qui ne vous mène à rien, et qui peut, juste pendant quelques temps rapprocher deux personnes, qui ensuite, ayant manié jusqu'à l'usure ce seul sujet de conversation, s'éloignent et ne partagent plus qu'un bonjour de sympathie le matin et de petits sourires sans aucunes significations. C'est ce qui aurait pu nous arriver, oui ça aurait pu. Mais, par le plus grand des bonheurs qu'on puisse espérer, cela ne s'est pas produit. Et pour ça, j'en remercie le ciel, ou peut être la terre, à moins que ce ne soit la mer. Peu importe. La fin de l'année est arrivée, la seconde s'est achevée, et j'étais heureuse de pouvoir dire "Julie est mon amie, et je l'adore". La première a pointé le bout de son nez, et son lot de complications avec. Il est certain que notre amitié a prit un tournant auquel je ne m'attendais pas, et malgré le fait que la veille de la rentrée, elle était la personne que j'étais le plus pressée de serrer dans mes bras, la vie nous a quelque peu éloigné. Disputes au sein du petit groupe que nous étions, clans, accusations de favoritisme, changements des personnes, on a évolué, côte à côte, tout en mettant une distance entre nous. Je le savais, je le sentais, ce n'était pas ce à quoi je m'attendais. Plusieurs fois je lui ai dit "tu as changé", comme des paroles en l'air, mais qui avait une forte signification pour moi. Mais après tout, c'était peut être moi qui avait changé. Elle avait une autre amie, et j'en avais de mon côté. Nous allions peut être finir comme ces autres personnes, avec un simple "bonjour" de routine. Non, ce n'était pas tolérable. Je ne pouvais l'admettre, ni le permettre. Alors, nous avons finit par former un groupe de trois. Les inséparables, Julie, elle, et moi. Nous trois, jusqu'au bout, jusqu'à la mort, pour l'éternité. Et pendant que nous nous faisions tout un tas de promesse, jurant de nous aimer, toutes les trois jusqu'à la la fin de notre vie, et même après, nous nous faisions du mal, nous changions, nous pourrissions de l'intérieur, sans nous en rendre compte. Les mises en gardent n'avaient aucun impact, et la terminale, remontée à bloc, nous a englouti, nous jetant un peu plus dans le torrent de la vie. Cette dernière semblait nous dire "il est temps d'ouvrir les yeux mes chéries." Et c'est ce qu'on à fait. Après maintes discussions, il était flagrant que nous devions prendre une décision, il était temps d'assumer, et de grandir. Il fallait le faire tout de suite, avant que ça ne fusse impossible. Et se fut la fin des inséparables. De trois, nous sommes passé à deux. Julie et moi. Moi et Julie. En quelque sorte, la libération. Oui, on peut appeler ça comment ça. A présent, je suis heureuse, au près d'elle. Oui, au près de toi. Julie, mon amour de toujours, ma vie, mon coeur, ce n'est toi, et que toi. Parler avec toi, rire avec toi, pleurer avec toi, tout ça est naturel, et fait parti de mon quotidien. Sans toi, je m'écroule. Une amie en or, un trésor, mon bonheur. J'ai beau tenter d'imaginer ma vie sans toi, je n'y parviens pas, parce que c'est tout simplement impensable. Tu es entrée dans ma vie pour ne jamais en ressortir. Je ne pourrais jamais te perdre. Tu me connais, tu sais comment je suis, et surtout, tu m'acceptes ainsi. Malgré mon caractère, mes sautes d'humeur, ma susceptibilité, tu m'aimes encore chaque jour que la terre veuille bien nous offrir. Et, même si je suis rancunière au possible, pour ne pas te voir partir, je pourrais m'excuser mille fois, m'excuser jusqu'à la fin de mes jours, que je sois coupable ou non. Tu m'apportes tellement, que je te promets d'être la meilleure possible pour ne pas que tu veuilles me tourner le dos.  Oui, pour toi, je suis prête au maximum que je puisse donner de mon être. Je peux tout partager avec toi, car je sais que tu ne me jugeras pas. Quoi qu'il arrive, tu seras au près de moi. Temps que tu es là, je peux avancer. Et, comme je te l'ai déjà dis, je pense et penserai toujours ce que je te dis. Je ne pourrais pas te mentir sur mes sentiments. Je ne sais pas ce que nous réserve demain. Ainsi, je ne sais pas si notre amitié résistera à tout, et je ne peux m'empêcher de douter, ce qui est humain. Mais, je suis sûre d'une chose, c'est que je me battrais jusqu'à mordre la poussière pour que tu gardes cette place si importante dans mon coeur, et pour garder celle que j'ai dans le tien. Je t'aime, je t'aime et je t'aime encore plus à chaque instant.

 

Bref, pour conclure cette magnifique histoire, elle et moi, c'est maintenant pour la vie. Je veux juste qu'elle connaisse mon futur mari, qu'elle soit la marraine de mes enfants, qu'elle reste l'amie que je voudrais appeler quand j'en aurais besoins, même à cinquante ans. Vous savez, ce genre d'amitié, c'est la plus belle chose qu'il puisse vous arrivez. Alors, quoi qu'il arrive, faites tout ce qui est en votre pouvoir pour garder une personne comme ma Julie, car, c'est très rare. Sachez traiter vos meilleurs amis comme les trésors de votre vie, et ne gâchez pas tout, juste par amour propre.

 

 

Julie, mon amour, je t'aime. <3

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1 janvier 2011 6 01 /01 /janvier /2011 21:34

Bientôt le grand saut, la nouvelle année s'approche. On est tous la, réuni, entres amis, pour accueillir une année de plus. L'ambiance monte peu à peu, l'alcool cool à flot, la nourriture est abondante, la musique pousse les corps à se mouvoir au rythme du tempo. Des chorégraphies endiablées se créées, et bientôt, les rires et la bonne humeur prennent place. On ne sait plus quelle heure il est, mais peu importe, tout le monde est heureux. Le décompte est proche, et quand enfin il commence, les gens hurlent de toutes leurs forces cette décadence de chiffres, comme pour dire un ultime adieu à l'année précédente, et laisser la place à la suivant, dans la joie et le bonheur. Puis, dans un élan d'euphorie contagieuse, on lance les pétards, on laisse exploser notre jouissance au travers d'un feu d'artifice improvisé en tout point. Ensuite, la musique reprend ses droits, et le champagne, accompagné d'autres sources d'ivresse, coulent sans retenu dans les corps enflammés. Des amitiés naissent, des bouches qui ne se connaissent pas se rencontrent, et d'autres qui savent déjà la saveur de cette langue, fêtent dignement ce premier janvier. 2011 est arrivée. Alors, bonne année!

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30 décembre 2010 4 30 /12 /décembre /2010 21:14

Foto0519.jpgTourner la page... Drôle d'expression dans le fond non? Tourner une page consiste à la saisir, et à lui faire faire une rotation, pour qu'elle passe du recto au verso. Et on dit qu'il faut faire la même chose avec une situation de la vie. Saisir un passage déplaisant, et le retourner. C'est ça non? Mais alors, il reste toujours ce verso, qui, par transparence nous montre ce que nous voulons cacher. Car, ce n'est que ça que nous voulons faire. Cacher, planquer, dissimuler une chose qui nous déplaît. A quoi cela sert-il? On ne le fait pas disparaître. A tout moment, on peut tomber dessus, par mégarde ou volontairement. Tourner la page... Non, je ne pense pas que ce soit le mieux. Non, je crois que l'expression la mieux serait... arracher la page, brûler la page, réduire en bouillie la page. Oui la, on ne risque plus de tomber dessus. Dans ce cas ci, on en est débarrassé, a jamais. Il faut juste pas faire l'erreur d'y penser parce que... ce qui est dans la tête, ce n'est pas destructible.

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20 décembre 2010 1 20 /12 /décembre /2010 22:33

Photo0478.jpgJe suis sur cette plage, à bout de souffle, la tête tournante, les cheveux ébouriffés, et les vêtements sales. Je n'ai jamais courus aussi vite de ma vie. Mais il fallait que je m'en aille, que je parte loin. Là, je me sens bien. Le vent marin fouette mon visage, les vagues viennent timidement me lécher le bout des orteils. Je ne réfléchis plus à rien. Ma tête est peuplée des cris des mouettes faisant des allés et retours au dessus de moi, dans ce ciel ou seuls quelques nuages, comme perdus, viennent troubler cette quiétude bleutée. Bientôt, j'ai l'impression que mon corps se soulève au rythme saccadé du galop d'un cheval blanc, tacheté de légères taches marrons à peines visibles. J'ai soudainement quitté cette plage, et me retrouve au milieu d'un désert sans fin, entouré d'une dizaine de chevaux sauvages. Ils m'accompagnent dans mon périple. Je me sens seule, et en même temps protégée. La chaleur ne m'atteint pas, et le soleil semble être un ami, parmi toute cette sécheresse. Puis, je me retrouve projetée dans une foret. Je marche sur une végétation dense, verte, fleuris, enivrante et enivrée. L'air frais et reposant pénètre dans tout mon corps, me faisant sentir encore plus vivante. Quelques animaux, comme des biches, ou des écureuils, tout comme des insectes, viennent me saluer, mais gardent tout de même des distances raisonnables. Un oiseaux vient me chanter quelques notes de sa délicieuse musique au creux de l'oreille. Puis, dans un froid piquant, je gravis sans hésitation une montagne recouverte d'une épaisse neige immaculé. Parmi toute cette pureté, je me sens mal à l'aise. Mais cela ne dure pas longtemps. La nature semble m'accepter et me donner le courage et la volonté dont j'ai besoin pour parvenir au sommet. Et quand enfin, j'y parviens, le monde m'offre un paysage idyllique, et magnifiquement émouvant. Une légère brise vient me sécher les larmes qui naissent aux coins de mes yeux. La nature me chuchote de ne pas être triste, de profiter de chaque instant, et d'être heureuse. Elle me dit combien sourire est important, combien rire embellis la vie. Et c'est avec la résolution de ne plus m'apitoyer sur mon sort que j'ouvre les yeux sur un monde qui me parait étrangement plus beau que quelques minutes auparavant. C'est fou comme il a pu changer, juste grâce à un regard différent. Je peux à présent revenir vers toi, et plus forte que jamais.

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20 décembre 2010 1 20 /12 /décembre /2010 22:11

Je te hais, et pourtant, tu me manques tant. Quelle contradiction, non?! Mais comment pourrais-je l'exprimer autrement? Je m'en veux d'écrire à propos de toi, car tu ne le mérites pas. Oh non, loin de la. Ta personne me répugne, m'exaspère, me dégoûte, tu me fais même pitié par moment. Je ne sais même pas comment tu fais pour pouvoir encore te regarder dans une glace, sans vouloir te mettre des baffes. Et parallèlement, chaque chose qui me fait penser à toi me rend nostalgique. Nostalgique de cette époque, de ton rire, des moments de joies passés à tes côtés, des souvenirs encrés en moi, et du fait qu'il n'y en aura pas d'autres. Tes mots ont toujours le même impactent sur moi, quand je les relis. Je ne peux m'empêcher de sourire et d'avoir les larmes qui me montent aux yeux. Je veux tourner la page, ne plus penser à toi, et c'est quand tu es près de moi que j'y arrive le mieux. Mais une fois que la distance nous sépare, c'est de ton bon côté que je me souviens. Laisse moi tranquille. Je ne veux plus de toi dans ma vie. Pas si c'est pour être triste à chaque fois que je songe à toi. Je sais, c'est moi qui ait décidé de partir. Je ne le regrette pas. C'était mieux ainsi de toute manière. Mais je ne peux pas ne pas me demander à quoi aurait ressemblé ma vie avec toi. En réalité, je sais à quoi elle aurait rimé: rabaissement, moquerie, irrespect... Si seulement tu avais pu changer. Mais non, tu es trop fière pour ça. Tant pis après tout. J'ai au près de moi les personnes les plus merveilleuses du monde, à mes yeux. Tu ne leur arrives pas à la cheville. Tu aurais pu... Mais c'est trop tard. Je suis heureuse avec elles. Il ne manque plus que tu disparaisses. Et c'est ce que tu fais peu à peu. Il ne me reste plus qu'a te souhaiter bonne chance, j'ose quand même espérer que tu finiras par te rendre compte de certaines choses.

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