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25 octobre 2010 1 25 /10 /octobre /2010 19:53

Aujourd'hui, j'ai vu ta vraie facette. Enfin aujourd'hui... ça fait longtemps que j'ai des doutes sur toi, sur ta sincérité. J'ai voulu croire en toi, je te jure. J'y ai même cru, de tout mon coeur, et autant que je t'aimais. T'aimais... Non, je crois que je t'aime toujours. Mes sentiments n'ont pas pu déserter ainsi. Et c'est sans doute pour cela que je souffre tant. Oh oui je souffre à cause de tout le mal que tu m'as fait. Comment ai-je fait pour être aussi aveugle? Idiote, je suis une sombre idiote. Tes belles paroles, tes sourires pleins de tendresse, les moments de joies passés à tes côtés... Tout me faisait croire que notre amitié serait éternelle. Tu te souviens de toutes les fois que tu m'as dit m'aimer, des fois ou tu m'assurais que tu ne pourrais pas vivre sans moi, des fois ou même, tu me jurais de rester avec moi, tout au long de ma vie. Mais tout ça, ce n'était que des paroles en l'air. Tu disais des choses identiques à beaucoup trop de monde pour que ce soit sincère. Je t'ai donner une partie de moi, et tu l'as piétiné, sans aucun remord. J'ai toujours été la, et toi... Non, je ne peux pas dire que tu as été absente, au contraire. Tu as été la à chaque instant, pour mieux m'abandonner ensuite. J'aurais du le prévoir. C'est un peu ta spécialité. D'autre y ont cru avant moi. Je me suis obligée à croire que tu étais vraie, que tu n'étais pas hypocrite envers moi. Foutaise! Mais tu sais quoi? Je ne t'en aurais pas autant voulu, si tu ne l'avais pas fait souffrir elle aussi. Tu nous as détruit, nous rendant dépendantes de toi. Je te hais pour avoir fait ça. Je sais que tu ne te remettras pas en cause. Je le sais, je te connais. Ce n'est pas grave, au point ou on en est. Rappel toi juste qu'un jour, une amie aurait tout fait pour toi, et que toi, tu l'as tout bonnement ignoré, ou plutôt prit ce dont tu avais besoin, et laisser les restes. Tu t'en sortiras dans la vie. Oui tu iras surement très loin. Mais seule. Je t'ai assez aimé pour vouloir que tu sois heureuse. Alors sois-le, en souvenir de ce qui a été pour moi, une amitié exceptionnelle réduite en cendre par ta faute, et peut être aussi un peu à cause de moi.

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18 octobre 2010 1 18 /10 /octobre /2010 21:20

galerie-membre-creation-graphique-pieds-et-mains.jpgJe suis noire, je suis blanche. Mes yeux sont marrons, mes cheveux sont bouclés. Je parle français, ma maison est en Europe. L'intérieur de mes mains est plutôt pale, l'extérieur assez foncé. Tout l'année, que ce soit en été ou en hiver, au printemps, ou bien en automne, ma peau est plus matte que celle de la plus part des gens qui m'entourent.

Soyons-en certain, ceci n'est que mon enveloppe corporelle. Mon âme, elle, n'est ni noire, ni blanche. Elle est juste humaine, comme celle de plus de soixante milliards d'hommes et de femmes. Je suis fière de ce que je suis: une humaine baignant dans deux cultures différentes. Europe, Afrique. Afrique, Europe. C'est du pareil au même: ma fierté. Ma France, ma terre, ma maison. Mon bénin, ma raison de vivre, mes origines.

Vous allez vous dire, encore un énième texte sur une fille qui revendique haut et fort qu'elle n'est pas que française. Oui, peut-être bien. Mais, si je ne le faisais pas, si je ne déclamais pas tout mon amour pour cet autre pays qui m'est cher, ne serait-ce pas un peu comme renier ce que je suis? Mon sang, ce liquide chaud et rouge, qui coule dans mes veines, est le savant mélange de deux être que tout oppose. Maintenant, il est miens, unique, et précieux. Alors oui, j'en suis fière, car plus tard, je donnerai un peu de ce sang à mon enfant, qui portera en lui un sang riche. Tout comme le mien, tout comme le votre. 

 

 

Etre fière de qui je suis, et respecter ce que sont les autres, telle devrait être notre devise.

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17 octobre 2010 7 17 /10 /octobre /2010 19:49

accuse5vbDe quoi tu parles? Hein?! Je ne comprends pas. Je ne comprends plus rien. Tes explications m'embrouilles! Arrête! Quoi? C'était pas fait exprès? Tu te fous de moi? Non, je ne peux pas y croire! Qui va te croire? Tu t'es encore foutu dans une de ces merdes! Ha oui, la je t'assure, tu es fini. Pardon? Mais tu es aveugle ou quoi? Tout est contre toi! T'as aucune chance. Tu es un indice vivant! On va t'accuser. La c'est sur, tu ne vas pas t'en sortir... Tu veux te cacher? Mais ou? Chez moi? Mais tu es crétin! Ils vont te retrouver directement! Ils vont d'abord penser à venir fouiller chez moi! Bah oui, je crois! C'est logique. Qu'est ce qu'il te reste à faire? Faut vraiment tout te dire toi! Rends toi. Qu'est-ce que tu vas leur dire? La vérité, toute la vérité, rien que la vérité! Jure! Oui, jure-le! Tu veux pas? Mais pourquoi? Parce que tu te souviens de rien? Rien du tout? Nada? Niente? Nothing? Ne commence pas à réfléchir, ça sert à rien, à part à t'embrouiller. Oui, oui je t'assure. Le mieux, c'est que tu ailles tout de suite avouer ta faute. Faute avoué, faute à demie pardonné! C'est bien ce qu'on dit non? Allé, vas-y. Je suis avec toi. Tu veux que je t'accompagne? NON! Je veux dire, non. C'est une mauvaise idée. Je vais plutôt... rester ici, et prévenir ton avocat. Pourquoi? Mais il fait bien te défendre! Tu es coupable, d'accord, mais tu l'as dit toi même, tu n'étais pas conscient. Ils vont peut être décliner que tu n'était pas dans ton état normal, et tu risqueras juste d'aller dans un hôpital psychiatrique. C'est déjà mieux que la prison. Tu dormais? Je te suis plus la! Tu dormais pendant le crime? Ha! C'est donc pour ça que tu ne te souviens pas! Oui, l'hôpital t'es sans aucun doute destiné. Ne t'en fais pas, je viendrai te voir, souvent! Vas-y maintenant. Oui, c'est ça! Vas-y! Pourquoi tu t'arrêtes. Continue à marcher vers ta destinée! Pourquoi tu me regardes ainsi? C'est quoi ce regard? Quoi? J'ai du chocolat au coin de la bouche? Ridicule! Et sur les mains? N'importe quoi! Ne m'accuse pas! C'est toi qui à manger le gâteau au chocolat! Moi... j'ai rien fait...

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17 octobre 2010 7 17 /10 /octobre /2010 17:44

Le bonheur des autres m'effraye. Désolé, je ne peux pas continuer à regarder ton sourire, qui rayonne de vitalité, de joie de vivre. Il me fait trop mal, me blesse. Chaque pas que tu fais et qui t'approche un peu plus du bonheur m'éloigne de toi. Je suis soulagée que tu ai trouvé la paix, qui te fera vivre dans une bulle de béatitude. Ne t'en fais pas, je suis contente: c'est un peu comme si j'avais accompli ma mission, que tu n'avais plus besoin de moi. Je t'aime, je t'ai toujours aimé, et ce sera à jamais le cas. Mais aujourd'hui, je ne peux plus regarder tes yeux pétillants, car ils me font trop comprendre que moi, je n'ai pas trouvé le bonheur. Pardonne moi, et sois heureuse... pour toi.

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15 octobre 2010 5 15 /10 /octobre /2010 22:15

 

Moi--108-.JPG °Ma vie est comme une bougie: si tu ne la protège pas au chaud au creux de tes mains, elle s'éteindra.

 

 

°Il l'a elle, elle l'a lui. Et moi, j'ai qui?

 

 

°T'y crois encore? Pas moi! D'ailleurs je ne crois plus en rien. Désolé c'est comme ça.

 

 

°Je te veux, je te désir, je te rêve, je ne te connais pas, je ne sais pas ou tu es, je ne sais pas si tu existes.

 

 

°J'ai plus la foi. Non pas en Dieu, mais en toi. 

 

°Qui plonge en même temps que moi dans la piscine,

 Avec moi plantera racine.

 

°Viens jouer avec moi sous la pluie,

 Comme quand on était petit.

 

 

 

 

 

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14 octobre 2010 4 14 /10 /octobre /2010 20:40

Moi--156-.JPGJe voudrais m'enfuir loin de ce monde égoïste et sans scrupule.

Je voudrais pouvoir toucher le ciel du bout de mes doigts.

Je voudrais connaître ces êtres qu'on appel les anges.

Je voudrais laisser mes sentiments qui me pèsent sur la Terre et m'envoler aussi légère que l'aire dans ce ciel sans nuage.

Mais tout ceci ne sont que des rêves qui ne se réaliseront jamais.

Sauf si c'est lui, mon ange adoré, qui m'emmène en volant de ses belles ailles blanches dans son pays lointain.

Ce ne sont surement que des rêves sans aucuns sens...

Mais si c'est la seule chose en quoi je crois, pourquoi m'empèches-tu d'y croire?

Toi qui ne te donnes même pas la peine de rêver,

Toi qui ne sais pas se qui me pousse à le faire,

Toi qui n'es qu'un mouton de notre société raté!

Oui, c'est moi qui te le dis: rêver est le seul moyen de s'échapper.

 

Dans mes nuits,

Je l'imagine m'apparaitre dans le crépuscule plus beau et éblouissant que jamais.

Il me prend dans ses bras forts et doux à la fois.

Je voudrais tellement partir avec lui...

Emmène-moi, même pour une seule nuit, emmène-moi avec toi mon ange.

Entends mon appel et réalise mon rêve, ce rêve.

Je t'en supplis,

J'étouffe, je meure, je t'aime.

Aide moi, appartiens moi, vole mon âme pour qu'elle soit tienne et à jamais.

Fais que tu sois moi et que je sois toi.

Ne faisons qu'un seul et unique être,

Représentant de l'amour éternel.

Espère moi et je t'espérerai de tout mon âme.

Ne pensons pas à ce monde qui ne nous correspond pas,

Mais préservons notre havre de paix.

Tu es le mien, je souhaite être le tien,

Je le veux pour toujours et à jamais.

 

Je te l'avoue,

Je me confesse,

Je me livre,

Me mets à nue, rien que pour toi:

Si tu n'éxistais plus, je ne serais plus;

Si tu ne répirais plus, je m'étoufferais;

Si tu te blessais, mon sang coulerait à l'unisson du tient;

Si tu ne savais plus, je perdrais la mémoire;

Si tu hésitais, je ne serais prendre aucune décison.

Mais si tu ne m'aimes plus,

Je t'aimerais quand même.

Tu es mon paradis personnel,

Le seul qui réussi à me faire voir le bon côtés des choses,

Le seul qui arrive à ce que,

Mon regard, mon sourire, soient sincères,

Le seul qui voit qui je suis,

Le seul qui me comprend vraiment.

Mais tu n'es qu'un rêve, n'est-ce pas?

Tu n'es réel que dans mes songes.

Mon imagination te crée,

La réalité te détruit.

C'est pour cela que je n'arrive pas à vivre la journée,

Mais que la nuit quand tu t'animes sous mes yeux clos.

Si seulement tu savais à quel point je te désir.

Mais ce sentiment est tellement fort,

Que je me demande si c'est humain.

Cela prouverait que toi, mon ange, tu m'as transmis une partie de toi,

Aussi infime soit -elle,

Qui me permait d'avoir la faculté au dessus de tout cela,

Et de t'aimer plus fort encore,

Comme seuls toi et tes compères savent le faire.

Tout ce que j'espère c'est que toi,

Tu te serres de ce don envers moi,

Et que tes sentiments sont aussi incroyablement grands que les miens. 

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14 octobre 2010 4 14 /10 /octobre /2010 19:30

Moi--46-.jpgJe marche dans cette rue, bondée d’une foule noire, où une atmosphère étouffante règne. Je sens des flots de parfums, corsés, sucrés, acres, doux, se mélanger d’une façon drôlement incompatibles. Des bruits, assourdissants, pénètrent dans mes oreilles, pour devenir un brouhaha, où il est impossible de discerner individuellement chaque provenance et de quelle nature ils sont. Au loin, quelqu’un me fait signe. Je veux lui répondre, mais une autre fille se jette dans ses bras, et je comprends qu’on ne s’adressait pas à moi. Je tente de faire un pas, un seul, pour me dégager de cette impression de stagnation, mais je ne peux rien faire. Tout est bloqué. Je demande pardon, et ne réussis qu’à me faufiler jusqu’à l’entrée d’un petit magasin, qui vend de jolies bougies aux couleurs variées. Je me pose contre la vitre, en attendant que le monde diminue un peu. Je ne m’inquiète pas, car je sais que tu es là. Quelque part dans la foule. Je sens même ton regard posé sur moi. Plus tôt, dans la matinée, je t’ai cherché, mais comment aurais-je pu te trouver parmi toutes ces têtes, tous ces corps, qui se mouvaient sans grâce ni logique? J’ai fini par abandonner. Ne m’en veux pas. De toute façon, nos destins sont liés non ? C’est ce que tu m’as dit un jour. Oui, je m’en souviens comme si c’était hier. Ces mots… ils résonnent encore dans mon esprit, en boucles. Chaque intonation, chaque pause que tu as pu faire sont encrés en moi. Oh ! et ce petit retroussement de lèvre, aussi léger qu’une brise d’été, que tu fais, chaque fois que tu  as l’impression d’être ridicule. Et quand tu te passes la main dans les cheveux, lorsque les mots ont déserté ta bouche. Evidemment, je n’oublis pas ton haussement de sourcils que tu effectues, dès que tu te demandes si je te suis toujours. Mais il va de soit que je te suis. Je te suivrai toujours d’ailleurs. Quel pourrait-être le sens de ma vie sans toi ? Mais là, pour être franche, je commence à m’inquiéter. Les milliers de fourmis qui se promènent à l’affut de fruits et légumes bon marché, c’est transformé en une petite centaine. Tu devrais être là. Je devrais te voir. Tu devrais pouvoir me rejoindre. Portant, au fond de moi, je sais que tu ne viendras pas. Tout comme ces dernières semaines. Tu ne peux plus venir. C’est fini. Tu es parti, et ce pour toujours. Je n’arrive pas à m’y faire. Mais ne t’inquiète pas. Tôt ou tard, je comprendrais que tu ne pourras jamais revenir. On en a décidé autrement, et il est impossible de changer le passé. Et comme tu disais si souvent : « C’est ainsi, la vie est cruelle. » 

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14 octobre 2010 4 14 /10 /octobre /2010 19:27

Moi--274-.JPGChaque matin, tu te lèves, tu m’embrasses, tu me regardes dans les yeux en me disant « Je t’aime ».

Chaque midi, tu la rejoins à cette terrasse de café, tu l’embrasses, tu la regardes dans les yeux en lui disant qu’elle t’a manqué.

Chaque soir, tu le passes dans ses bras, tu l’embrasses, tu m’appelles en la regardant dans les yeux, pour me dire que tu rentreras tard.

Chaque nuit, je pleure, je t’entends rentrer tard, et tout en faisant semblant de dormir, je continue à t’aimer.

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14 octobre 2010 4 14 /10 /octobre /2010 19:26

Photo0433.jpgJe suis assise sur ce fauteuil. Mes jambes sont calées confortablement sous mes fesses. Ma tête, négligemment tournée sur le côté, sur la proéminence du dossier, pointe vers l'océan d'un bleu troublant. Un livre posé sur mes genoux, je suis bien, paisible. Soudain, de l'autre côté, là ou mes yeux ne peuvent pas regarder, je perçois comme des pas. Oui, ce sont bien des pas qui se rapprochent de moi. Le bruit sec de ces chaussures sur le marbre me donne des frissons dans le dos. Ils ne s'arrêtent pas. Cela continu, ne cesse jamais. Il me semblait pourtant que le couloir était plus petit que ça. Je n'arrive pas à tourner la tête afin de voir qui vient. J'ai peur. Je dois me protéger, mais je suis tétanisée. Mon corps refuse de bouger. Les pas résonnent de plus en plus forts, de plus en plus proches. Déjà, il me semble sentir la présence d'une personne toute avoisinante à moi. Je me sens trembler. C'est le seul mouvement que je parviens à faire. Le bruit cesse. On me regarde. Mes yeux sont toujours rivés sur le va et vient incessant des vagues. L'écume vient lécher les doigts de pieds des courageux qui osent goûter la fraîcheur de l'eau. Ils ne m'entendent pas hurler. De toute façon, aucun son ne sort de ma bouche. Ils ne pourront pas m'aider. C'est fini pour moi. La noirceur effrayante de l'inconnu m'enveloppe, et m'arrache à la terre pour m'emmener dans le néant. L'obscurité est en moi, chassant tous les rayons du soleil que j'avais cueilli tout au long de ma courte vie.

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12 octobre 2010 2 12 /10 /octobre /2010 20:08

amour.jpgDes frissons parcourent ma peau. Aux endroits où tes longs doigts au touché soyeux ont laissé leurs marques, je ressens comme une délicieuse brûlure. Le plaisir monte en moi, et tes doux baisers m'apportent une sérénité que jamais encore je n'ai connu. La chaleur de ton corps tout contre moi réchauffe le mien, endolori. Je ne réfléchis plus. Seuls tes yeux noisettes d'une profondeur éblouissante m'intriguent, me subjuguent. Tes baisers laissent une trace sur mon front, mon nez, mes lèvres, mon menton, mon cou, au creux de ma poitrine. Mon coeur bat tellement vite que je suis certaine que tu l'entends? Ça ne me dérange pas, puisque ainsi, tu peux comprendre à quel point mon amour pour toi est immense.

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